Des roues sur mesure
En collaboration avec notre fournisseur SwissAlpsWheel nous vous proposons des roues Alu ou Carbon destinées à la route – VTT – E-Bike – E-Road montées à la carte et définies en fonction de plusieurs critères.
Une gamme de roues pensée pour la montagne.
L’adaptation de son vélo aux contraintes de la montagne est une nécessité que tout pratiquant connait. Les roues SwissAlpsWheel sont pensées pour la montagne.
Des rigidités adaptées à chaque utilisateur.
Selon que vous soyez compétiteur, pratiquant loisirs, léger, ou athlétique… vos choix de matériels seront différents pour s’adapter à vos objectifs. Comme pour votre vélo, le choix des roues ne se fait pas au hasard.
Choisissez votre flex.
Pour la plupart des modèles, vous avez le choix entre plusieurs rigidités.
Les roues déterminent le caractère de votre vélo.
Un peu de technique
Les roues SwissAlpsWheel répondent à un cahier des charges construit par des années d’expérience. Chaque roue a été élaborée en fonction des caractéristiques retenues pour apporter les qualités recherchées. Par exemple, la notion de « paire » prend tout son sens. La roue avant n’est pas soumise aux mêmes contraintes que la roue arrière. D’ailleurs, les géométries très différentes des moyeux avant et arrière induisent nécessairement une réflexion et une approche visant à tenir compte des différences entre ces deux roues. Le comportement du vélo dépend très directement de la cohérence entre la roue avant et la roue arrière.
Sauf dans des cas d’utilisations spécifiques (roue lenticulaire, piste,…) , une roue doit avoir une certaine souplesse pour fléchir légèrement et agir comme un arc en renvoyant la force qui lui a été soumise.
Une roue très rigide, ne se pliant pas sous l’effort de l’utilisateur, aura moins de rendement qu’une roue plus souple et qui produit un effet « ressort ». De plus, sa rigidité trop importante fatiguera les muscles de l’utilisateur.
A l’inverse, une roue trop souple pourra s’affaisser sous une contrainte trop importante. Ce « décrochage » est dû à une flexion supérieur à sa capacité d’élasticité.
Vous l’aurez compris, il faut trouver un juste équilibre entre ces deux extrêmes.
L’angle des rayons (induit par la géométrie du moyeu et la géométrie de la jante), leurs tensions et la rigidité de la jante, vont déterminer les points de flexions mini et maxi de la roue.
Prenez rendez-vous et nous nous ferons le plaisir de vous faire un devis pour les modifications à apporter à vos chaussures. Sans voir vos pieds dans les chaussures il nous est impossible de vous donner un prix !
Une roue en mouvement tourne autour de son axe (le moyeu). Plus le poids de la jante est important, plus la force centrifuge emmagasinée par la roue augmente. Ce phénomène est encore amplifié sur une roue de 29″ par rapport à une 27,5″.
Faites l’expérience de faire tourner entre vos mains une roue de votre vélo. Faites-là tourner une première fois sans le pneu et mémorisez l’effort que vous devez appliquer avec vos mains pour lancer la roue en rotation, pour la faire pivoter de droite à gauche. Ensuite, renouvelez l’expérience après avoir remonté le pneu. Vous serez surpris de la force supplémentaire que vous devez exercer pour élancer la roue en rotation et changer l’angle de celle-ci.
Maintenant que vous avez pris conscience de cela, considérez l’effet produit sur votre vélo, qui lui, n’a pas une roue mais deux !!
Une paire de roues légère, surtout en périphérie, signifie moins d’énergie à élancer le vélo, plus de vivacité dans les changements de direction, et plus de réactivité au freinage
Le gain de poids d’une roue doit se situer le plus possible dans sa périphérie. Gagner 100 gr sur une paire de roues n’aura pas beaucoup de conséquences si c’est au niveau du moyeu ! Si ces 100 gr sont gagnés sur les rayons, les sensations seront perceptibles. Si c’est sur la jante, alors ces 100 gr gagnés auront le maximum d’efficacité.
Aussi, lorsque vous comparez les poids de différentes paires de roues, essayez de déterminer où se situe le gain de poids éventuel. Vous constaterez que très peu de fabricants communiquent sur le poids des jantes.
Les chaussures de ski dès Fr. 400.– ont très souvent des chaussons avec une mousse en partie thermoformable. Un modèle de chaussure de ski peut se décliner en 3 volumes différents (largeur, hauteur de coup du pied, volume du mollet)
Le gain de poids réalisable sur la jante m’amène à évoquer le nombre de rayons nécessaires à l’obtention d’une bonne roue. La tendance est depuis plusieurs années à réduire le nombre de rayons. Au delà du « look », l’argument souvent évoqué est celui de réduire le poids de la roue. Si cet argument est recevable, il est toutefois à nuancer ! Que devient l’avantage de réduire le nombre de rayons, si cela s’accompagne d’une augmentation du poids de la jante pour accroitre sa solidité ? Faut-il une roue avec moins de rayons montés sur une jante renforcée donc plus lourde ? Ou faut-il une roue montée avec un peu plus de rayons sur une jante légère ? Vous l’avez deviné, je suis clairement pour la deuxième solution.
L’autre aspect déterminant du nombre de rayon est lié à l’utilisateur. Le poids et la puissance du coureur vont déterminer son choix. Un coureur (route) puissant et massif préférera souvent le comportement d’une roue arrière de 28 rayons plutôt que 24.
Une roue est un assemblage de trois éléments : la jante, les rayons et le moyeu. Comme pour le vin, il y a des assemblages qui vont bien… et d’autres qui ne marchent pas. Les rayons ne servent pas seulement à relier la jante et le moyeu. Ils sont d’une importance capitale pour donner le caractère d’une roue. Vous l’avez compris, le choix de chaque composant ne doit pas se faire au hasard. Assembler un moyeu cher ou joli, avec une jante hyper haut de gamme et des rayons choisis un peu au hasard n’a aucun sens.
Constituer une équipe de foot avec les onze meilleurs joueurs de la planète ne vous garanti pas que cette équipe sera la meilleure. Si une certaine symbiose ne se crée pas entre chaque joueur, alors vous obtiendrez un ensemble de onze individualités évoluant ensemble. Rien de plus.
Tout le monde peut monter une roue. Il suffit d’être un peu bricoleur, d’avoir du temps et de la patience. Mais tout l’enjeu du métier de monteur se situe dans sa capacité à donner le caractère qu’il veut à sa paire de roues. C’est difficile, long, et ça demande d’avoir emmagasiné beaucoup d’expériences.
Aussi, le choix des rayons, en fonction de leurs propriétés mécaniques, et le choix des tensions appliquées sur ces rayons lors du montage va déterminer, de façon aussi importante que le moyeu et la jante, le caractère de la roue.
- Le sérieux du montage est maximal (1). Les rayons sont tendus à des valeurs (en Newton) qui correspondent à une démarche visant l’optimisation de la paire de roues.
- Le sérieux du montage est maximal (2). Les tensions des rayons sont harmonisées au maximum. Sur une roue SwissAlpsWheel, la différence entre le rayon le plus tendu et le moins tendu est de l’ordre de 2,5 %.
- Vous connaissez le poids des jantes. Peu de marques communiquent sur ce sujet.
- Vous connaissez le caractère de la paire de roue. Là encore, peu de communications de la part des gros constructeurs.
- Les roues vieillissent mieux. En effet, par un montage précis et optimal, les roues fatiguent moins et durent plus longtemps.
- Vous pouvez mixer les hauteurs entre les roues avant et arrière.
- Chaque composant est interchangeable et réutilisable. Par exemple, si vous changez de vélo et que les nouveaux entre-axes sont en boost (vtt), alors vous pourrez changer les moyeux et conserver les jantes. Selon les cas, une partie des rayons sera même réutilisable.
- Vous pouvez choisir le nombre de rayons selon vos spécificités. Plus ou moins puissant, plus ou moins lourd, l’utilisateur pourra faire son choix.
Swissalpswheel - Test Center
Pour votre rendre compte de la qualité et des changements que peuvent apporter les roues à votre vélo, nous vous proposons d’effectuer un test.
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